On ne va jamais aussi loin que lorsqu’on ne sait pas où l’on va..

ludovic maillard
ludovic maillard
Merci à Walter pour ces deux semaines de conversations intensives.
C’est avec regret que je le quitte aujourd’hui, lui qui doit rejoindre son beau pays de Constance (Allemagne, frontière Suisse).
Je devais lui enseigner la langue française – ce que je fis, sans aucun doute !- mais j’ai surtout découvert un monsieur passionnant, un retraité allemand qui se nourrit de voyages, de littérature, d’écologie, de tolérance – un monsieur qui croit en l’Europe…envers et contre tou(s)t.
Au cours de ces deux semaines, nous avons parlé de l’étirement du temps, de la théorie du genre, des anciennes colonies françaises et allemandes, de la guerre, des nouveaux réseaux de connaissance, du Burkini, de la création d’Adam par Michel Ange, du Brexit, de Rousseau, de Michel Serre…
Une belle rencontre entre deux générations et deux nationalités qui semblaient cependant parler une langue commune.